Le constat
Depuis les années 1990, la recherche en psychologie a exploré les conditions optimales de développement des êtres humains et des organisations.
Il en ressort des principes – validés scientifiquement – qui viennent parfois totalement à l’encontre de notre culture ou de notre éducation.
Parallèlement, le monde fait face à des défis sans précédent : réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité. Les experts ont mis en évidence le dépassement de six des neuf limites planétaires. Les inégalités ont globalement augmenté au sein des pays.
D’une part, une exploration qui commence tout juste : celle des formidables ressources de l’être humain et des leviers pour l’amener à son plein potentiel de bonheur et d’épanouissement.
D’autre part, la surchauffe d’un système économique et social reposant sur l’extraction, la consommation, l’accumulation.
Et maintenant ?
Et si nous faisons un pas de côté ?
Pour sortir de la fuite du « toujours plus » et du « je serai enfin heureuse/heureux quand… ».
Pour identifier ce qui nous rend profondément heureux et ce qui nous rend de meilleures personnes.
Pour réfléchir à la place que nous voulons avoir dans le monde : une vie de consommation et de « plaisir » sans limites, qui implique entre autres d’avoir des dizaines d’esclaves modernes à notre service et de contribuer à la déforestation de par le monde ?
Ou une vie enrichie par la générosité, l’altruisme, la bienveillance ?
Construire notre chemin vers une vie pleine de sens et d’épanouissement ?
Les ateliers Global Harmony animés par Pauline Jouy proposent un temps de pause pour explorer en profondeur les sujets de sens, de bonheur et d’engagement.
Ils mêlent apports théoriques, temps d’introspection et partage – pour faire ce petit bout de chemin ensemble, dans un cadre bienveillant, sécurisant et joyeux !
I suggest that we are thieves in a way. If I take anything that I do not need for my own immediate use and keep it I thieve it from somebody else. I venture to suggest that it is the fundamental law of Nature, without exception, that Nature produces enough for our wants from day to day, and if only everybody took enough for himself and nothing more, there would be no pauperism in this world, there would be no more dying of starvation in this world. But so long as we have got this inequality, so long we are thieving.
M. K. Gandhi – Book – Trusteeship